Il était une fois l'an 2033…et 2 personnes sur 3 ont oublié que, fut un temps, elles souffraient du sentiment de culpabilité dès qu'elles pensaient à elles en premier.
Le matin au lever, la 1ère chose à laquelle elles pensent n'est plus "comment vais-je réussir à affronter cette journée ?" mais plutôt "comment est-ce que je me sens aujourd'hui ?"
Elle est bien loin l'époque où l'on pensait qu'une personne qui prend du temps pour elle est :
-
Egoïste : "ne soit pas égoïste enfin...il faut être gentil...tu me fais de la peine"
-
Un mauvais parent : "mère indigne ! tu pars en week-end sans tes enfants..."
-
Fainéante : "encore une livraison de repas ? moi avec ton père, je ne risquais pas de ne pas faire les repas..."
-
Coupable : "ah ben ça, si tu sortais moins souvent seul(e), ton mariage ne battrait pas de l'aile..."
Cette même époque où l'on pensait aussi qu'une personne obèse est :
-
Responsable de son obésité : "tu dois bien t'empiffrer pour être gros-sse comme ça..."
-
Dégoutante : " tu t'es vu dans le miroir ? non mais regarde toi !"
-
Faible : "c'est juste une question de volonté..."
-
Parano : " la grossophobie ? c'est dans ta tête ce truc, non ?"
En 2033, les individus ne cherchent qu'une seule chose :
Etre en phase avec leurs propres besoins, se respecter en se priorisant et préserver ainsi leur santé mentale.
Qui sont ces personnes ?
-
Des hommes, des femmes,
-
Avec ou sans enfant,
-
Des personnes au physique "standard" et des personnes qui souffrent d’obésité
Tous uniques, tous différents.
Mais leur motivation principale est identique : être en phase avec leurs propres besoins, et se respecter.
-
Se respecter en pensant d'abord à eux pour pouvoir être plus efficace pour aider les autres,
-
Savoir dire non et savoir dire oui, pour eux, et pas pour faire plaisir uniquement à l'autre,
-
Prioriser les urgences et déléguer ce qui peut l'être,
-
Ecouter les signaux envoyés par leur corps, ralentir le rythme si besoin.
Jedeculpabilise est LA co-équipière de confiance, qui donne à chacune et chacun la possibilité de reprendre le contrôle de sa vie, pour cultiver une bonne santé mentale.
Sensibiliser, accompagner et faire prendre conscience au plus grand nombre l'importance de penser à soi, sans culpabiliser, en prévention des risques du burn-out, en levant les tabous et les stigmatisations liés à la santé mentale et à la grossophobie.